L’album « giller, mort ou vif » (en CD) est en vente sur les sites suivants:

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www.exlibris.ch

 

 

Nouvel album: giller, mort ou vif. Disponible au téléchargement.



Très prochainement disponible en version CD également.

Filed under: Discographie,Téléchargements  |  Publié le 18/02/14  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

Clip de « réservoir », réalisé par Pierric Tenthorey

Filed under: Vidéos  |  Publié le 07/01/14  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

quand j’en aurai fini avec toi (le clip)

 

Clip réalisé par Marc Décosterd.

Merci à Marc Décosterd, Marc Champod, Fabien Sevilla et Patrick Dufresne!!!

Filed under: Vidéos  |  Publié le 23/12/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

oubliez les heureux, l’album 10 titres est disponible en CD. (Et on peut le commander ici!)

oubliez les heureux

 

Oubliez les heureux est maintenant disponible en CD, pour la somme de 20.-

Pour le commander, envoyez-moi un mail à

contact@jeromegiller.com ou à jeromegiller@bluewin.ch

Oubliez les heureux est également disponible par téléchargement sur les plateformes usuelles (voir rubrique téléchargements).

 

Le  CD est également disponible à la vente sur

 www.lugeon.ch

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www.exlibris.ch

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Et il est aussi commandable en magasin.

 

L’album est distribué par

 

 

 

 

Concerts 2013

Jeudi 10 octobre à la Cave du Bleu Lézard à Lausanne (rue Enning 10).

21h. Entrée 7.-

 

 

Filed under: Concerts  |  Publié le 07/09/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

L’histoire de giller, mort ou vif (épisode III)

 

Jeudi 1er et vendredi 2 août 2013. Il nous reste encore les guitares à faire. Laurent Poget nous rejoint donc en Studio, à Alzac, pour deux sessions de « guitares punk ». Je passe ainsi deux après-midi à me délecter du jeu de Laurent et des sons qu’il propose.

On trie un peu ensemble, Laurent, Marc et moi, les guitares que j’ai faites sur les maquettes. Il y a des choses qu’on va garder, d’autres qu’on refait, d’autres encore où on mélange ses guitares et les miennes.

Laurent, quand il bosse, il bosse, il n’y a pas beaucoup de répit entre les prises. Souvent il joue tout d’une traite sans qu’on ait besoin de retoucher quoi que ce soit. Ce qui fait que c’est moi qui ai de la peine à suivre. Évidemment quand il joue, j’écoute attentivement et du coup quand il a fini il dit « Et maintenant? »…. et moi j’ai pas encore eu le temps de réfléchir à « et maintenant? », donc ça donne des « euuuh, attends… »

Marc m’impressionne, il a toujours une longueur d’avance et n’a aucune difficulté à suivre notre ami. Ce n’est qu’à la fin des deux jours qu’il m’avoue que ces journées sont à la fois merveilleuses et épuisantes pour lui, parce que  il se doit de suivre Laurent et d’être prêt pour lui. Ça me rassure un peu.

 

Et voilà, les prises de son des instruments se terminent.  J’espère l’avoir dit à chacun, mais je le répète ici au cas où: j’ai une chance extraordinaire de travailler avec vous les gars. Merci. Merci Marc, Merci Patrick, Merci Fabien, Merci Laurent.

Rock’n’punk!

Filed under: Articles,les histoires de  |  Publié le 06/08/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

L’histoire de giller, mort ou vif (épisode II)

Vendredi 26 juillet 2013. On complique donc les choses: on ajoute Fabien Sevilla (basse). Non pas que Fabien soit compliqué en soi (quoique? cf. anecdote ci-dessous), mais je veux dire qu’on fait des prises basse-batterie en « live ».  Et comme tout est dans la même pièce c’est Marc qui sue un peu (très peu, parce qu’il fait très frais dans le local: cf. l’histoire de giller, mort ou vif épisode I et aussi parce qu’il est très doué).

On se retrouve donc au local à Bex vers 10h45, un peu avant on est passé chercher les clefs dans l’atelier de musique où travaille Patrick. Je le retrouve en train de nettoyer méticuleusement un cuivre (il m’a dit que c’était pas une trompette mais je me rappelle plus quoi exactement maintenant).

Ouais, donc. On installe les micros de la batterie, Marc avait pris des photos pour pouvoir remettre les choses exactement la même chose et retrouver le même son que la semaine dernière. Ensuite, Fabien nous rejoint vers 11h40 pour installer sa basse. Il sort plusieurs pédales d’effets et c’est toujours amusant de le voir procéder à l’installation de celles-ci (difficile à d’écrire, il faut le voir, désolé).

Vers midi et demi, tout est plus ou moins installé. On décide donc d’aller manger. Fab nous dit qu’en se trompant de route pour rejoindre le local (qui n’est pas facile facile à trouver c’est vrai), il a trouvé un pti resto à deux pas de là, on peut même y aller à pied. On s’y rend donc. La terrasse est pleine alors on s’installe à une table basse pour apéro. L’endroit est trèèès sympa mais tout prend des plombes et la bouffe est euh disons un peu moyenne. Mais on s’en fout on est bien là tous les trois, Marc, Fab et moi. Manque que Pat, mais on ne peut pas tout avoir.

Pendant le repas, Fab nous fait une longue et passionnante théorie sur la diététique. Il nous explique qu’on fait passablement d’erreurs dans les mélanges que l’on fait avec les aliments qu’on mange lors d’un repas. Il nous dit également qu’il ne mange plus du tout « d’animaux vivants », qu’il évite également les produits laitiers et qu’il a arrêté le café. Je suis sincèrement impressionné. Puis au cours de la journée il nous révèle que la veille il a mangé un steak frites (bon c’était un peu forcé parce que c’était après un concert et qu’on ne lui a pas demandé son avis), que le soir même il va manger des filets de perche, à quatre heures, il me demande si je lui offre un café et en partant le lendemain il me lancera avec un grand sourire « bon à bientôt pour la fondue!! » (on a pour tradition de se retrouver de temps en temps tous ensemble autour d’une fondue, peu importe la saison). Je suis moins impressionné du coup. :O)

Avec une heure de retard sur le programme, on retourne au local à 14h, pile au moment où Pat était en train de nous rejoindre pour un café. Et hop on (=ils, moi je regarde) se met au boulot. Comme toujours c’est un régal, sauf que là, pas comme toujours, je suis au première loge et je peux regarder tout le monde travailler et quand on aime la musique comme j’aime la musique et ben on prend son pied. Je regarde Marc à la fin des prises, il a son petit sourire comme j’aime. Et j’ai l’impression que Pat et Fab se marrent bien à jouer du punk. Je dis punk, mais bon c’est ma version à moi du punk hein, n’exagérons rien.

Bref, je passe encore une fois une journée de rêve en compagnie de ses trois scélérats!

On termine vers 18h30. Quatre morceau sont dans la boîte. Il n’en reste plus qu’un (le slow de l’album!), mais on le garde pour samedi.

 

Samedi 27 juillet 2013.  Rendez-vous à 9h30. Les salauds, 9h30! Moi j’ai pris l’habitude de me coucher vers les 4-5 heures du mat, donc 9h30, c’est dur. Mais bon, qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour faire plaisir à ces musiciens! Tout le monde est déjà là quand j’arrive. C’est un petit morceau qu’on doit faire, un clin d’œil hommage à Gainsbourg et on cherche une ambiance un peu vintage et reggae. On met tout ça en boîte et ensuite Pat joue quelques percus improvisées avec une cloche, un verre et une sorte de mini casserole.

Ensuite Pat nous quitte, il a fini ses parties, on va pouvoir mettre la basse sur celles enregistrées la semaine précédente.

Encore une fois, Fabien nous bluffe et met tous les morceaux en boîte en euh allez une heure, une heure et demi à peine? Ce qui fait qu’à midi et demi on a fini la journée (c’était bien la peine de se lever aux aurores!!)….

On démonte tout et on rentre, et moi je suis heureux comme euh comme un chef allez.

Filed under: Articles,les histoires de  |  Publié le 04/08/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook