L’histoire de giller, mort ou vif (épisode I)

Vendredi 19 juillet 2013. Nous débutons les prises de son pour l’album Giller, mort ou vif.

Un album court et un peu punk: Je me suis fixé comme règle que les morceaux ne devaient pas dépasser les 2mn30 et si possible être même moins longs. Et tous devaient être énergique et up-tempo. Pour aller dans le sens de cet esprit brut de décoffrage, j’ai proposé à Marc Champod (ingénieur du son) et Patrick Dufresne (batteur) d’enregistrer certaines choses dans le local de répétition de Patrick à Bex.

Ce vendredi 19 juillet, nous sommes donc là pour faire un test et voir si ça donne quelque chose. Le local est situé près d’une rivière (on s’en fout mais c’est très beau). A l’intérieur il y fait très frais. Ce qui est agréable, parce que dehors il fait très chaud. (C’est juste pour situer un peu.)

Rendez-vous au Macdo de Villeneuve. Histoire de bien commencer la journée punk avec de la punk-food. Petit arrêt sur la route pour prendre des munition pas très punks: trois bouteilles d’eau et un paquet de biscuits (et une chuppachups pour Pat en souvenir des Abandonnés). Nous arrivons vers 13h, montons la batterie (une belle pearl) et improvisons un coin table de mixage pour Marc (ordi posé sur des planches et table de mix et carte son sur des caisses en plastique). Marc place les micros, nous discutons batteur avec Patrick et évoquons Dave Grohl, sound check et c’est parti.

Comme à son habitude, Patrick nous impressionne et met en boîte en trois heures 4 morceaux  à des tempos entre 160 et 240 (je précise ici pour donner une idée qu’un tempo à 120 est déjà considéré comme plutôt rapide, disons du moins dans le type de musique que je fais). Ca n’a pas l’air d’être plus compliqué que ça pour lui et c’est seulement quand il dit des choses comme « hé ho les gars moi je fais de la variété maintenant!! » qu’on se rend compte que ça le fatigue quand même la moindre.

Bref, une belle journée où nous prenons tous notre pied (je dis « nous » parce que j’ai bien vu leur sourire: on était content d’être là).

 

Samedi 20 juillet 2013. Retour à Alzac Sutdio pour vérifier le son. Comme on n’avait pas, hier, de véritable écoute à part au casque, difficile de dire ce que ça valait vraiment. Donc un brin de suspens. Mais ça déchire sa race !! On va donc pouvoir continuer de procéder ainsi et compliquer un peu les choses.

 

La suite au prochain épisode.

Filed under: Articles,les histoires de  |  Publié le 29/07/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

oubliez les heureux sur le net en CD + en magasin

oubliez  les heureux est désormais disponible en CD à la vente sur

www.lugeon.ch

www.shop-diffusion.com

www.cede.ch

www.exlibris.ch

www.amazon.fr

Il est également référencé en magasin (il est donc possible de le commander)

 

Avec mes remerciements à Jean-François Bally de

Filed under: Articles,Commander un album (CD),Discographie  |  Publié le 22/04/13  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

oubliez les heureux, l’album (sur itunes et les autres plateformes de téléchargements)

L’album oubliez les heureux est  disponible au téléchargement!

 

Filed under: Discographie,Téléchargements  |  Publié le 10/12/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

le clip du lapin (B.O. d’Erwan2 réalisé par Marc Décosterd)

 

Le clip de la chanson LE LAPIN, B.O. du film ERWAN ET + SI AFFINITES, réalisé par Marc Décosterd.

Merci à toute l’équipe (acteurs, choristes, sons, images et tout et tout)!!!

Filed under: Vidéos  |  Publié le 11/10/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

les paroles de l’album oubliez les heureux

1.  j’voudrais pas crever – Jeanne elle travaille le soir dans un bar. Elle passe ses nuits à servir des whiskys. Quand elle revient au petit matin Jeanne elle s’endort aux parfums des remords. Elle a pas l’temps pour aucun d’ses amants. Elle se fane dans les draps en gémissants leurs noms. Y a rien sous ses cils rien dans l’appartement. Les cris de la ville pour seuls compagnons. Au pied du lit un vieux bouquin écorné. Et à l’encre rouge j’voudrais pas crever. Elle commence à en avoir marre de n’être jamais de nulle part. Elle commence à en avoir plein l’dos des cinglées et des fachos. Elle commence à en avoir marre – elle est au bout du rouleau! Jeanne elle travaille le soir dans un bar. Elle passe ses nuits à servir des whiskys. La gueule défaite de larmes et de rimmel. Elle chante un vieil air de J.-P. Capdevielle. Marc au turbin lui il conduit des trains. Il passe ses nuits à traverser le pays. Quand sous ses roues Jeanne s’est jetée Marc s’est dit moi j’voudrais pas crever. Quand les nuits Jeanne viendra vous crier ces quatre mots de sa voix de damnée ça c’est sûr ça va la faire marrer d’lire dans vos yeux j’voudrais pas crever.

 2. au loin la ville – On n’avait pas peur ni des diables ni des dieux. On restait debout dans le froid près du feu. Quand ça mordait trop on relevait nos cols. On f’sait passer le clope et le flacon d’alcool. Au-dessus de nous les ponts et le ciel mort avaient embrasé la ville où s’endormaient 600’000 imbéciles. On r’descendait au port là où il y avait du vent qui collait sur nos corps la rouille des cargos jaunes et blancs. Au loin la ville résonne. Et elle pardonne aux hommes qui reviendront plus hanter ses rues. On f’sait les 400 coups. On piquait des bagnoles pour aller tailler les routes tordues des cols. Mais la nuit et la ville nous rappelaient à elles. Nous on croyait en rien mais on leur était fidèle. Toi t’étais amoureux d’une des filles des patrons qui voyait pas d’un bon œil que tu viennes de sortir de prison. Moi j’avais leurs noms tatoués sur les bras. Y en avait plus de 100. La dernière s’appelait Emma. Au loin la ville résonne. Et elle pardonne aux hommes qui reviendront plus hanter ses rues. Au loin la ville résonne. Et les hommes lui pardonne d’avoir fait ce qu’elle a pu. Les aimant à leur insu.

3. elles viennent avec moi – Les agaçantes les énervantes les p’tites piseuses et les grosses chieuses les putains les piteuses les torturées les mal-aimées les pleurnicheuses les vraies saletés les boiteuses les voûtées les sales gamines les mesquines les p’tites connes les bonnes à rien les salopes les catins les dépitées les pas-baisées les pinailleuses les périmées les véreuses les cinglées les j’me-fous-d’toi les j’en-manque-pas-d’air elles iront pas en enfer elles viennent avec moi. Les fatigantes les épuisantes néfastes funestes affligeantes les malfaisantes les fofollantes les grandes démentes les mégas chiantes les aguicheuses les désastreuses les nanana-neuses les vampireuses schizophrèneuses  superultrakalilichieuses les tire-toi-d’là les j’en-manque-pas-d’air elles iront pas en enfer elles viennent avec moi. Et elles pleurent pas seules dans le soir. Et elles pleurent pas seules dans le froid. Elles pleurent dans mes bras.

4. quand j’en aurais fini avec toi – J’aime pas trop cet air narquois que tu prends quand tu m’regardes. Tout doux dis donc exagère pas. Tout doux, prends garde. La haine est un oiseau rebelle elle n’a jamais connu de loi mais si tu me hais pas je te hais et si tu me hais c’est déjà ça. C’est toujours la même histoire on s’emmerde on traîne les bars on attend que r’vienne la nuit on a même pas d’quoi aller voir les filles. Quand j’en aurai fini avec toi i restera rien. Plus personne se fringue comme ça plus personne se coiffe comme ça c’est pas possible tu l’fais exprès ou quoi plus personne n’a cet air-là. La haine est enfant de bohème elle n’a jamais connu de loi je t’évite quand tu t’invites et quand tu m’évites c’est déjà ça. C’est toujours la même rengaine sous les ponts nous on s’promène on s’emmerde sous le lampadaire on a même plus d’quoi s’payer des bières. Quand j’en aurai fini avec toi i restera rien.

5. zero no good #XXXXXXX – I hardly ever noticed though I’ve been awake that the eyes of my lovers were full of hurt and full of hate. So I took the late train and went home as I could. Watched through the open window what I’ve never understood. The evening’s gone but the night is young and I might just hang around to see if there is something I can find. C’mon love. I have been a-aching. I’ve been mad enough. I’m looking for a-soothing. I tried to remember what it was that you said but every word is long gone now and has cleared its way out of my head. There’s nothing in my pocket and my coat is full of holes of everything I lack and need and you’re the one I miss the most. I’ve been here all day and there is nowhere else to go. I am done doing what I’m told. C’mon love. I have been a-aching. I’ve been mad enough. I’m looking for a-soothing. My shoes are soaked and my pants are soaked and I’m all drenched myself. There’s an old man trying to cross the road he’s walking weakly with a cane. There’s so much rain in front of me that I can’t even see my own eyes. The world is dressed in white and grey and full of bad guys in disguise. I’ve never been that
good at anything in my life. I’ve never been that good at goodbyes. It’s been kind of hard to swallow all these years but I’d wish you’d have the nerves to come and tell it to my face. In a little space somewhere between what you want and what you fear I’d wish you’d have the nerves to come and tell it to my face. I hardly ever noticed that I never knew what to do. It seems amazing to me now that I ever was in love with you. So I took the late train and went home as I could. Watched through the open window what I’ve never understood. The night is gone but the morning’ young and I might just hang around to see if there is someone I can find.

6. jade quitte la ville – Jade quitte la ville l’asphalte est en feu. Jade montre les dents aux libidineux. Lève ses yeux aveugles. Dénoue ses cheveux. Tend ses poings et crache aux cieux. Jade provoque la colère de dieux. Ah! La belle étoile! Jade quitte la ville sans faire ses adieux. Elle a l’air d’un drapeau en feu d’une guerre nucléaire d’un bateau qui brûle en pleine mer d’une gosse des banlieues. Sous un ciel orange Jade s’éloigne. Dans son dos les flammes gagnent et dangereusement rejoignent ses deux yeux morts pourtant fiévreux. Ah! La belle étoile! En route! En route! Sous les deux cornes de la constellation d’Aldébaran Jade en flammes dans la nuit rouge prend son élan.

 7. ta g »%#le – Ohlala kes k’c’kça?! Ohlala ça ça va pas! c’est un peu de guerre lasse ouais c’est un peu de guerre lasse mais j’t’le dis t’as l’haleine d’la chatte fermentée d’une femme un peu grasse c’est un peu de guerre lasse que j’t’le dis! Mais dis donc, c’est l’bordel ici, non? Faudra penser à m’ranger tout ça fissa fissa oui! Sinon j’te foutrai une paire de baffe dans la gueule. J’te foutrai une bonne paire de baffe dans la gueule dans la gueule.  Dans lalala dans la gueule. c’est un peu de guerre lasse ouais c’est un peu de guerre lasse ma cerise i faudrait quand même un jour que tu t’regardes dans une glace fais gaffe tu vas avoir une sale surprise! mais merde alors j’croyais qu’ça arrivait qu’aux blondes t’as pas compris qu’tu fais vraiment chier l’monde et qu’tu vas t’prendre une paire de baffe dans la gueule ouais tu vas t’prendre une paire de baffe dans la gueule dans la gueule dans lalala dans la gueule! c’est un peu de guerre lasse c’est un peu de guerre lasse ma p’tite pute c’est un peu de guerre lasse c’est un peu de guerre lasse mais tu putes…

 8. astrosong – Astronaute salut viens voir un peu par ici. est-ce que tu préfères les garçons est-ce que tu préfères les filles. Astronaute salut viens voir un peu par ici. c’est un peu confus un peu confus aujourd’hui. salut viens voir un peu par ici salut tu préfères tu préfères les filles tu préfères tu préfères les filles. C’est un peu confus confus aujourd’hui. on s’balade un peu – y a tout qui prend feu. on en croit pas nos yeux – y a tout qui prend feu. c’est pas étonnant si tout va si mal à présent. Hé salut – y a tout qui prend feu. viens voir un peu par ici. salut – y a tout qui prend feu. tu préfères tu préfères les filles tu préfères tu préfères les filles. C’est un peu confus confus aujourd’hui. un baiser de David Bowie. un baiser de Klaus Kinsky Klaus Kinsky Klaus Kinsky -c’est pas étonnant si tout est si sale à présent c’est pas étonnant si tout va si mal si mal à présent

9. on m’aime – Les gamines et les gamins i m’aiment bien. Les ptis chats et les ptis chiens i  m’aiment bien. Les bistroquets du coin i m’aiment bien. Tous mes vieux copains i m’aiment bien. Y a quelques chauds lapins qui m’aiment bien. Plusieurs poulets d’la Place Machin qui m’aiment bien. Y a quelques trous du cul qui m’aiment bien. 2, 3 inconnues qui m’aiment bien. On m’aime chez les trucs, chez les portugais. J’ai mes entrées dans les clubs gays. On m’aime jusqu’dans les cimetières les morts m’invitent à venir prendre un verre. On m’aime de Barcelone à Jérusalem. On m’aime même dans les clubs SM. Du Mexique à la Mecque on m’aime idem. C’est fou ce qu’on m’aime, c’est un vrai harem. Mais elle, elle en a rien à secouer de moi. Elle a pas peur de mourir. Elle s’essuie la bouche et se met à rire. Elle crie que l’bonheur c’est des conneries. J’ai voulu m’faire fleuriste pour lui dire la vie en roses. J’ai voulu m’faire droguiste pour lui filer sa dose. J’ai voulu m’faire horloger
pour cueillir ses heures. J’ai voulu m’faire boulanger pour sucrer son beurre. J’ai voulu m’faire photographe pour lui tirer l’portrait. J’ai voulu m’faire pornéaste pour lui faire faire des trucs. J’ai voulu m’faire chorégraphe pour la faire valser. J’ai voulu m’faire autographe pour la faire signer. J’ai promené son teckel. J’ai lavé son linge. J’ai fait du lèche-vitrine. J’ai fait le singe. J’ai payé ses PVs. J’ai léché ses timbres. Astiqué ses w.-c. et graissé son flingue. J’ai fait mettre au trou un type un peu fou d’elle. J’ai fait mettre des verrous. J’ai placé des sentinelles. Un soir d’été où elle était pas rentré j’ai ameuté tout l’quartier j’ai fouillé ses poubelles. J’ai fait ce qu’on fait quand on veut impressionner. J’ai appris la boxe thaï. J’suis ceinture noire de karaté. J’ai appris le mandarin et perfectionné mon bédouin. J’ai aussi appris la natation synchronisée. J’ai appris la haute-couture sans trop faire la forte tête. J’ai appris à composer des p’tites opérettes. J’ai appris l’accordéon. J’ai appris la trompette. Même que quand j’en joue (nom de dieu) ça en jette. Elle a pas peur de mourir. Elle s’essuie la bouche et se met à rire. Elle crie que l’bonheur c’est des conneries. Go-go-go! Yea-yea-yea!

10. the sad story of the fisherman’s daughter – She was a fisherman’s daughter. I fell in love with her one winter. We took the boat out and drifted off the shore. The sharks were swimming in the water. Spring came and went in a fever. She was so young we were so eager. I walked her down the aisle. It started snowing on the shore. I put a ring on her finger. I bought her roses that summer. We even knitted a net together. We would take long walks on the paths along the shore. And each time went a little further. She had to stay in bed all autumn. Did as the doctors said. And then I lost her. To her gravestone I bring flowers. Holding the hands of our daughters. We take the boat out and we drift off the shore. It feels so lonely on the water. It feels so lonely on the ocean.

Filed under: Lyrics Étiquettes : , , ,  |  Publié le 10/10/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

l’histoire du clip du lapin

Hier, jeudi 2 août 2012, nous tournions donc le clip du lapin, la chanson de la B.O. du film de Marc Décosterd: Erwan et + si affinités. Sans trop dévoiler l’histoire démentielle de ce clip, je tiens à dire qu’on s’est marré comme des dingues. Je dis « sans dévoiler » parce qu’il s’agit quand même de laisser la surprise. Tout ce que je peux dire c’est que je suis déguisé en lapin.

Marc devait me retrouver à 9hoo et nous avions rendez-vous avec l’équipe (oui! l’équipe) à 10h. L’idée était de préparer un peu le matos et même de tourner quelques scènes avant que les autres arrivent. Bon. Marc a du retard. Bon. Ce qui fait que ça ne vaut pas tellement le coup de monter avant tout le monde et on se dit qu’on est tout aussi bien à la terrasse d’un café un petit moment avant d’y aller, ce qui est plutôt un bon début de tournage.

On arrive au lieu de rendez-vous, Nicolas (mon frère!), Gaëtan et Cloppi sont déjà là (non, on est pas en retard, ils sont en avance). Caroline nous rejoint très vite à moto avec un look Kill Bill merveilleux et on attend Loïc qui nous a prévenu qu’il a dix minutes de retard mais il est pardonné parce qu’il vient à vélo… (quel fou, à vélo!, et les voitures alors? c’est pour les chiens!?)…

Ensuite, tout était simplement idyllique. Il faisait beau! On suait comme des dingues, mais on s’en foutait: il faisait beau! (la semaine d’avant on avait dû annuler parce que le seul jour de la semaine, le seul!, où il a plu, c’était le jour où on avait prévu de tourner…. le seul!)….. Tout le monde était génial et franchement on a expédié tout ça en 4h, pique-nique compris!…. Je dis « expédié » et je sais que quelques-uns ne pourront s’empêcher de lire « bâcler », alors je précise: ça a été vite parce que tout le monde était génial, voilà!

Un immense merci à Marc Décosterd pour cette journée, et me réjouis vraiment de voir tout ça monté!

Et, évidemment, un immense merci à Caro, Nico (mon frère!), Gaëtan, Loïc et Cloppi! Vous étiez tous parfaits!….

 

Filed under: les histoires de Étiquettes : ,  |  Publié le 03/08/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

Jade etc., en vente au téléchargement et à l’écoute sur www.deezer.com, myspace et mx3

Enregistrés les 18 et 19 juin 2011, mixés et masterisés les 20, 21 et 22 juin 2011. Tout ça par Marc Champod, à Alzac Studio, Montreux, Suisse.

Guitares: Victor Corbillon  –  Basse: Fabien Sevilla  –  Batterie et percussions: Patrick Dufresne  –  Voix, paroles, musique, arrangements: J.G.

Photo: Sophie Bocksberger  –  Graphisme: Marc Décosterd

Filed under: Discographie,Téléchargements  |  Publié le 12/07/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook

« Quand j’en aurai fini etc. », en vente au téléchargement

Enregistrés les 14 et 15 juillet 2011, mixés les 16 et 17 juillet 2011, masterisés les 6 et 7 août 2011. Tout ça par Marc Champod, à Alzac Studio, Montreux, Suisse.

Basse: Fabien Sevilla – Batterie et percussions: Patrick Dufresne – Voix, paroles, musique, arrangements: J.G.

Choeurs: Marc Champod, Patrick Dufresne, Fabien Sevilla et J.G.

Photo: Sophie Bocksberger – Graphisme: Marc Décosterd

 

Filed under: Discographie,Téléchargements  |  Publié le 26/06/12  |  Aucun commentaire  |  Ajouter à Facebook